Beauté de l’union de l’homme et de la femme voulue par Dieu « dès la création du monde » Gn 2, 18-24.
Beauté mystérieuse du Royaume des cieux ouvert à ceux qui ressemblent à un enfant.
Réveillons « l’enfant » qui sommeille en nous, présentons-le à Jésus, et laissons Jésus le toucher … Alors, le Royaume s’ouvrira pour chacun de nous…

En ce temps-là, des pharisiens abordèrent Jésus et, pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient :
« Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus leur répondit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d’établir un acte de répudiation. » 
Jésus répliqua : « C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle. Mais, au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
De retour à la maison, les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur déclara : « Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre devient adultère envers elle. Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre, elle devient adultère. »
Des gens présentaient à Jésus des enfants pour qu’il pose la main sur eux; mais les disciples les écartèrent vivement. Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. » Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains. Mc 10,  2-16

Avec Louis et Zélie Martin, avec Thérèse et tous ceux qui ont un cœur d’enfant, prenons part à l’Eucharistie : « banquet céleste »… dès aujourd’hui !

Le Bon Dieu m’a adonné un père et une mère plus dignes du Ciel que de la terre. Ils demandèrent au Seigneur de leur donner beaucoup d’enfants et de les prendre pour Lui. Ce désir fut exaucé… LT 261

La perfection me semble facile, je vois qu’il suffit de reconnaître son néant et de s’abandonner comme un enfant dans les bras du Bon Dieu. Laissant aux grandes âmes, aux grands esprits les beaux livres que je ne puis comprendre, encore moins mettre en pratique, je me réjouis d’être petite puisque les enfants seuls et ceux qui leur ressemblent seront admis au banquet céleste. LT 226

Rappelle-toi des divines tendresses
Dont tu comblas les plus petits enfants
Je veux aussi recevoir tes caresses
Ah ! donne-moi tes baisers ravissants
Pour jouir dans les Cieux de ta douce présence
Je saurai pratiquer les vertus de l’enfance
N’as-tu pas dit souvent :
« Le Ciel est pour l’enfant?…
Rappelle-toi. »
PN 24, 9