Vous serez thérésiennes ou vous ne serez pas. P. Martin

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  • 1er octobre, fête de Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus de la Sainte Face, Docteur de l’Eglise

    A Lisieux, et pour tous les « thérésiens » du monde, c’est une grande fête ! Pour nous, Soeurs Oblates de Ste Thérèse, c’est le jour où, nous renouvelons nos Vœux, nouvel élan dans notre engagement à la suite du Christ pauvre, chaste et obéissant pour lui ré-exprimer notre désir de lui être fidèle et marcher avec Lui vers notre Père et vers nos frères et sœurs par la voie de la confiance et de l’amour. Mère Agnès de Jésus a accompagné sa petite sœur dans les derniers jours de sa vie et recueilli quelques unes de ses paroles : 30 septembre 1897 Le matin, je la gardai pendant la Messe. Elle ne me disait pas un mot. Elle était épuisée, haletante ; ses souffrances, je le devinais, étaient inexprimables. Un moment, elle joignit les mains et regardant la statue de la Sainte Vierge : …Oh ! je l’ai priée avec une ferveur ! Mais c’est l’agonie tout pure, sans aucun mélange de consolation. …O mon Dieu !… Je l’aime le bon Dieu ! O ma bonne Sainte Vierge, venez à mon secours ! …Si c’est ça l’agonie, qu’est-ce que c’est que la mort ? !… …Ah ! mon bon Dieu !… Oui, il est bien bon, je le trouve bien bon… Si vous saviez ce que c’est que d’étouffer ! … Mon Dieu, ayez pitié de votre pauvre petite fille ! Ayez-en pitié ! O ma Mère, je vous assure que le calice est plein jusqu’au bord !… … Mais le bon Dieu ne va pas m’abandonner, bien sûr… … Il ne m’a jamais abandonnée. … Oui, mon Dieu, tout ce que vous voudrez, mais ayez pitié de moi ! … Mes petites sœurs ! mes petites sœurs, priez pour moi ! Notre Mère lui répondit qu’ayant toujours compris et pratiqué l’humilité, sa préparation était faite. Elle réfléchit un instant et prononça humblement ces paroles : …Oui, il me semble que je n’ai jamais cherché que la vérité ; oui, j’ai compris l’humilité du coeur… Il me semble que je suis humble. … Et je ne me repens pas de m’être livrée à l’Amour. Oh ! non, je ne m’en repens pas, au contraire ! …Jamais je n’aurais cru qu’il était possible de tant souffrir ! jamais ! jamais ! Je ne puis m’expliquer cela que par les désirs ardents que j’ai eus de sauver des âmes. Vers 5 heures, j’étais seule près d’elle. Son visage changea tout à coup, je compris que c’était la dernière agonie. Lorsque la communauté entra dans l’infirmerie, elle accueillit toutes les sœurs avec un doux sourire. Elle tenait son Crucifix et le regardait constamment. Pendant plus de deux heures, un râle terrible déchira sa poitrine. Son visage était congestionné, ses mains violacées, elle avait les pieds glacés et tremblait de tous  ses membres. Une sueur abondante perlait en gouttes énormes sur son front et ruisselait sur ses joues. Elle était dans une oppression toujours croissante et jetait parfois pour respirer de petits cris involontaires. Pendant ce temps si plein d’angoisse pour nous, on entendait par la fenêtre – et j’en souffrais beaucoup – tout un ramage de rouges-gorges, et d’autres petits oiseaux, mais si fort, si près et si longtemps ! Je priais le bon Dieu de les faire taire, ce concert me perçait le cœur et j’avais peur qu’il fatigue notre pauvre petite Thérèse.  A un moment, elle semblait avoir la bouche si desséchée que Sr Geneviève, pensant la soulager, lui mit sur les lèvres un petit morceau de glace. Elle l’accepta en lui faisant un sourire que je n’oublierai jamais. C’était comme un suprême adieu. A 6 heures quand l’Angelus sonna, elle regarda longuement la statue de la Sainte Vierge. Enfin, à 7 heures et quelques minutes, Notre Mère ayant congédié la communauté, elle soupira : …Ma Mère ! N’est-ce pas encore l’agonie ?… Ne vais-je pas mourir ?… Oui ma pauvre petite, c’est l’agonie, mais le bon Dieu veut peut-être la prolonger de quelques heures. Elle reprit avec courage : Eh bien !… allons !… Allons !… Oh ! je ne voudrais pas moins longtemps souffrir…  En regardant son Crucifix : Oh ! je l’aime !…. Mon Dieu… je vous aime….. Tout à coup, après avoir prononcé ces paroles, elle tomba doucement en arrière, la tête penchée à droite. Notre Mère fit sonner bien vite la cloche de l’infirmerie pour rappeler la Communauté. « Ouvrez toutes les portes » disait-elle en même temps. Cette parole avait quelque chose de solennel, et me fit penser qu’au Ciel le bon Dieu la disait aussi à ses anges. Les sœurs eurent le temps de s’agenouiller autour du lit et furent témoin de l’extase de la sainte petite mourante. Son visage avait repris le teint de lys qu’il avait en pleine santé, ses yeux étaient fixés en haut brillants de paix et de joie. Elle faisait certains beaux mouvements de tête, comme si Quelqu’un l’eut divinement blessée d’un flèche d’amour, puis retiré la flèche pour la blesser encore… Sr Marie de l’Eucharistie s’approcha avec un flambeau pour voir de plus près son sublime regard. A la lumière de ce flambeau, il ne parut aucun mouvement de ses paupières. Cette extase dura à peu près l’espace d’un Credo, et elle rendit le dernier soupir. Après sa mort, elle conserva un céleste sourire. Elle était d’une beauté ravissante. Elle tenait si fort son Crucifix qu’il fallut l’arracher de ses mains pour l’ensevelir. Sr Marie du Sacré Cœur et moi nous avons rempli cet office avec Sr Aimée de Jésus et remarqué alors qu’elle ne portait pas plus de 12 à 13 ans. Ses membres restèrent souples jusqu’à son inhumation, le lundi 4 octobre 1897. Sr Agnès de Jésus r.c.i.

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  • Neuvaine de prière avec Ste Thérèse de l’Enfant-Jésus

    « Dans la cœur de l’Eglise, ma Mère, je serai l’Amour. » Un an avant son entrée dans la Vie, Thérèse a découvert sa vocation : être l’Amour au cœur de l’Eglise. Cette vocation est aussi la nôtre, Sœurs Oblates de Ste Thérèse.  Nous vous partageons cette neuvaine qui reprend quelques extraits du Manuscrit B de Ste Thérèse pour préparer nos coeurs à sa fête célébrée dans l’Eglise le 1er octobre.                 Avec Thérèse…  En mission… Au  cœur de l’Eglise… 1er jour – mercredi 22 septembre ~ « La science d’amour… le seul bien »  Sans se montrer, sans faire entendre sa voix, Jésus m’instruit dans le secret… La science d’Amour, ah oui ! Cette parole résonne doucement à l’oreille de mon âme, je ne désire que cette science-là… Je comprends si bien qu’il n’y a que l’amour qui puisse nous rendre agréables au Bon Dieu que cet amour est le seul bien que j’ambitionne. Jésus se plaît à me montrer l’unique chemin qui conduit à cette fournaise Divine, ce chemin c’est l’abandon du petit enfant qui s’endort sans crainte dans les bras de son Père… * Par l’intercession de Ste Thérèse, fais-nous la grâce Seigneur d’un cœur qui écoute. 2ème jour – jeudi 23 septembre ~ « La miséricorde est accordée aux petits » « Si quelqu’un est tout petit qu’il vienne à moi » a dit l’Esprit Saint par la bouche de Salomon et ce même Esprit d’Amour a dit encore que « La miséricorde est accordée aux petits » En son nom, le prophète Isaïe nous révèle qu’au dernier jour « le Seigneur conduira son troupeau dans les pâturages, qu’il rassemblera les petits agneaux et les pressera sur son sein, et comme si toutes ces promesses ne suffisaient pas, le même prophète…s’écrie au nom du Seigneur : « comme une mère caresse son enfant, ainsi je vous consolerai, je vous porterai sur mon sein et je vous caresserai sur mes genoux. » O marraine chérie ! Après un pareil langage, il n’y a plus qu’à se taire, à pleurer de reconnaissance et d’amour. * Par l’intercession de Ste Thérèse, renouvelle en nous Seigneur, la grâce d’un cœur qui se laisse façonner par ta Miséricorde pour en être témoin autour de nous. 3ème jour – vendredi 24 septembre ~ « Donne-moi à boire » Ah! si toutes les âmes faibles et imparfaites sentaient ce que sent la plus petite de toutes les âmes, l’âme de votre petite Thérèse, pas une seule ne désespérerait d’arriver au sommet de la montagne de l’amour, puisque Jésus ne demande pas de grandes actions, mais seulement l’abandon et la reconnaissance…. « Immolez à dieu des sacrifices de louanges et d’actions de grâces. » Voilà donc tout ce que Jésus réclame de nous, il n’a point besoin de nos œuvres, mais seulement de notre amour, car ce même Dieu qui déclare n’avoir point besoin de nous dire s’il a faim, n’a pas craint de mendier un peu d’eau à la Samaritaine. Il avait soif… mais en disant : «donne-moi à boire», c’était l’amour de sa pauvre créature que le Créateur de l’univers réclamait. Il avait soif d’amour… Ah ! je le sens plus que jamais Jésus est altéré, il ne rencontre que des ingrats et des indifférents parmi les disciples du monde et parmi ses disciples à lui, il trouve, hélas ! peu de cœurs qui se livrent à lui sans réserve, qui comprennent toute la tendresse de son Amour infini. * Par l’intercession de Ste Thérèse, fais-nous la grâce Seigneur, de participer pleinement à ta mission d’aimer et de faire aimer Jésus. 4ème jour – samedi 25 septembre ~ »…malgré ma petitesse, je voudrais… »  Ô mon Bien-Aimé, mon unique Amour… aujourd’hui, le sixième anniversaire de notre union… Etre ton épouse, ô Jésus, être carmélite, être par mon union avec toi la mère des âmes, cela devrait me suffire… il n’en est pas ainsi… Sans doute, ces trois privilèges sont bien ma vocation, Carmélite, Épouse et Mère, cependant je sens en moi d’autres vocations, je me sens la vocation de guerrier, de prêtre, d’apôtre, de docteur, de martyr; enfin, je sens le besoin, le désir d’accomplir pour toi Jésus, toutes les œuvres les plus héroïques… Je sens en mon âme le courage d’un Croisé, d’un Zouave Pontifical, je voudrais mourir sur un champ de bataille pour la défense de l’Église… Je sens en moi la vocation de prêtre; avec quel amour, ô Jésus, je te porterais dans mes mains lorsque, à ma voix, tu descendrais du Ciel… Avec quel amour je te donnerais aux âmes … Ah ! malgré ma petitesse, je voudrais éclairer les âmes comme les Prophètes, les Docteurs, j’ai la vocation d’être Apôtre… Le martyre, voilà le rêve de ma jeunesse, ce rêve a grandi avec moi sous le cloître du Carmel… ô mon Jésus ! à toutes folies que vas-tu répondre ?… y a-t-il une âme plus petite, plus impuissante que la mienne !… Thérèse, « Patronne des horizons de l’Eglise » est une âme de désirs sans limite pour l’Amour de Jésus. * Par son intercession, renouvelle en nous Seigneur, la joie de te servir et donne nous cette même liberté et cette même folie que donnent les grands désirs pour l’Amour de Jésus et de son Eglise. 5ème jour – dimanche 26 septembre ~ »… afin de chercher quelque réponse… »           A l’oraison mes désirs me faisant souffrir un véritable martyre, j’ouvris les épîtres de St Paul afin de chercher quelque réponse. Les chap. XII et XIII de la première épître aux Corinthiens me tombèrent sous les yeux… J’y lus, dans le premier, que tous ne peuvent être apôtre, prophètes, docteurs, etc… que l’Église est composée de différents membres et que l’œil ne saurait être en même temps la main… La réponse était claire mais ne comblait pas mes désirs, elle ne me donnait pas la paix… Comme Madeleine se baissant toujours auprès du tombeau vide finit par trouver[3v°] ce qu’elle cherchait, ainsi, m’abaissant jusque dans les profondeurs de mon néant je m’élevai si haut que je pus atteindre mon but… Sans me décourager je continuai ma lecture et cette phrase me […]

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L’Evangile avec Thérèse

  • Dimanche 12 janvier 2025 – Baptême du Seigneur

    Allons au bord du Jourdain! Glissons-nous parmi le peuple, et prenons le temps de contempler ce qui se déroule sous nos yeux. En ce temps-là, le peuple venu auprès de Jean le Baptiste était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ. Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. » Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel : « Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. Lc 3, 15-16.21-22 Lorsque l’on choisit le baptême, on offre la possibilité à Dieu de venir habiter dans notre cœur, l’éclairer, l’apaiser… Et l’Évangile nous dit que Dieu y trouve sa joie… Sommes-nous conscients de la beauté et de la grandeur du cadeau que représente le baptême, pour la personne baptisée et pour Dieu? Thérèse  exprime en quelques mots, ce qui reste à la fois un mystère et un émerveillement : par le baptême, Dieu « daigne » venir jusqu’à nous et rend notre humanité capable de l’accueillir au plus intime de nous-même. Thérèse devient ainsi, enfant de Dieu le 4 janvier 1873, deux jours après sa naissance. L’eau sainte du baptême, Du tout petit enfant d’un jour Fera le temple où Dieu Lui-même Daigne habiter dans son amour. PN 35,  8

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  • Dimanche 5 janvier 2025 – Épiphanie du Seigneur

    Aujourd’hui… venez adorons l’Enfant! Dans la nuit du monde, une étoile s’est levée et des mages se sont mis en route : chercheurs de « sens » pour leur vie, chercheurs de Dieu ? Une « étoile », un désir, une intuition, une parole suffisent à mettre en route et voici l’aventure de la recherche qui commence ou recommence…  Face au dépouillement d’un Dieu-Roi de l’Univers qui se fait petit Enfant, les mages répondent en ouvrant leurs coffres et donnent tout ! Jésus était né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode le Grand. Or, voici que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu son étoile à l’orient et nous sommes venus nous prosterner devant lui. »En apprenant cela, le roi Hérode fut bouleversé et tout Jérusalem avec lui. Il réunit tous les grands prêtres et les scribes du peuple, pour leur demander où devait naître le Christ. Ils lui répondirent :« À Bethléem en Judée, car voici ce qui est écrit par le prophète : Et toi, Bethléem, terre de Juda, tu n’es certes pas le dernier parmi les chefs-lieux de Juda, car de toi sortira un chef, qui sera le berger de mon peuple Israël. » Alors Hérode convoqua les mages en secret pour leur faire préciser à quelle date l’étoile était apparue ; puis il les envoya à Bethléem, en leur disant : « Allez vous renseigner avec précision sur l’enfant. Et quand vous l’aurez trouvé, venez me l’annoncer pour que j’aille, moi aussi, me prosterner devant lui. »Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici que l’étoile qu’ils avaient vue à l’orient les précédait, jusqu’à ce qu’elle vienne s’arrêter au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant. Quand ils virent l’étoile, ils se réjouirent d’une très grande joie. Ils entrèrent dans la maison, ils virent l’enfant avec Marie sa mère ; et, tombant à ses pieds, ils se prosternèrent devant lui. Ils ouvrirent leurs coffrets, et lui offrirent leurs présents : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Mais, avertis en songe de ne pas retourner chez Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin. Mt 2, 1-12 Regardons une dernière fois la crèche en élargissant notre regard jusqu’à ses limites, où nous apercevons les Mages, en pèlerinage pour adorer le Seigneur. Regardons et comprenons que tout ce qui entoure Jésus est recomposé dans l’unité : il n’y a pas seulement les derniers, les bergers, mais aussi les savants et les riches, les Mages. À Bethléem, pauvres et riches sont ensemble, ceux qui adorent comme les Mages et ceux qui travaillent comme les bergers. Tout se recompose lorsque Jésus est au centre : non pas nos idées sur Jésus, mais lui, le Vivant.Retournons à Bethléem. Il nous est bon d’y aller, dociles à l’Évangile de Noël qui présente la Sainte Famille, les bergers et les Mages : tout un peuple en chemin. Frères et sœurs, mettons-nous en route, car la vie est un pèlerinage. Levons-nous, réveillons-nous car cette nuit une lumière s’est levée. C’est une lumière douce qui nous rappelle que, dans notre petitesse, nous sommes des enfants bien-aimés, des fils de la lumière (cf. 1 Th 5, 5). Frères et sœurs, réjouissons-nous ensemble car personne n’éteindra jamais cette lumière, la lumière de Jésus qui depuis cette nuit brille dans le monde. Pape François, 24 décembre 2021 Thérèse nous invite à garder un cœur missionnaire, pour accueillir la Lumière et la faire rayonner autour de nous pour réjouir Jésus… Pour réjouir l’Enfant Jésus Comme une étoile scintillante Brillez par toutes les vertus Soyez une lumière ardente Ah ! que vos feux les guidant aux Cieux Des pécheurs déchirent le voile !… L’Enfant Divin L’astre du matin Vous choisit pour sa douce Etoile. RP 5, 4

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  • Attente de Noël, en mots et en images

    A la maison mère, les Sœurs et le personnel se préparent à accueillir Jésus, animés de la même confiance qui habitait Ste Thérèse au Carmel. Reportage en mots et en images, de couloirs en couloirs, de pièces en pièces jusqu’au lieu de célébration où le bœuf et l’âne guettent l’arrivée de Marie et de Joseph. Cliquer  ici pour découvrir 

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