Dieu vient nous visiter !
Une fois de plus Jésus a pitié de la souffrance humaine. Il s’arrête devant la veuve à la tête du cortège funèbre. Ce récit est émouvant, il révèle toute la tendresse de Jésus et la toute-puissance avec laquelle Il sait mettre fin aux détresses humaines.
On portait en terre un mort, un fils unique dont la mère était veuve… En la voyant, le Seigneur fut pris de pitié pour elle et lui dit : « ne pleure pas ». Il s’avança, toucha le cercueil et dit : « Jeune homme je te l’ordonne, lève-toi. »
En ce temps-là, Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm. Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule. Il arriva près de la porte de la ville au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ; c’était un fils unique, et sa mère était veuve. Une foule importante de la ville accompagnait cette femme.
Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle et lui dit : « Ne pleure pas. » Il s’approcha et toucha le cercueil ; les porteurs s’arrêtèrent, et Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. » Alors le mort se redressa et se mit à parler. Et Jésus le rendit à sa mère.
La crainte s’empara de tous, et ils rendaient gloire à Dieu en disant : « Un grand prophète s’est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple. » Et cette parole sur Jésus se répandit dans la Judée entière et dans toute la région. Lc 7,11-17
Demandons la grâce d’une entière confiance en la miséricorde de Dieu comme Thérèse, pour donner au Seigneur la joie de visiter notre cœur et le combler de ses grâces.
Je sens que si par impossible – ô Jésus – tu trouvais une âme plus faible, plus petite que la mienne, tu te plairais à la combler de faveurs plus grandes encore, si elle s’abandonnait avec une entière confiance à ta miséricorde infinie… Ms B. 5 r°
Je ne vois pas bien ce que j’aurais de plus après la mort que je n’aie déjà en cette vie. Je verrai le Bon Dieu, c’est vrai ! Mais pour être avec lui, j’y suis déjà tout à fait sur la terre. CJ 15 mai
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