56 ème Journée Mondiale de Prière pour les Vocations.

Accueillons ces paroles du Pape François. Prions pour lui et pour tous les Pasteurs de l’Église.
« Chers prêtres…. Soyez des pasteurs avec ‘l’odeur de [vos] brebis’, que celles-ci se sentent aimées– [soyez] des pasteurs au milieu de [votre] propre troupeau…
Chers fidèles, soyez proches de vos prêtres par l’affection et par la prière afin qu’ils soient toujours des pasteurs selon le cœur de Dieu. » 

En ce temps-là, Jésus déclara : « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, et personne ne les arrachera de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut les arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. » Jn 10, 27-30

Aujourd’hui, joignons nos prières à celle de Thérèse et Céline pour demander au Seigneur d’appeler à la moisson de nombreux ouvriers pour témoigner de leur foi en Jésus-Christ parmi leurs frères et sœurs.
Prions pour qu’ils répondent à l’appel et s’engagent à la suite de Jésus comme prêtres, religieux, laïcs consacrés, chrétiens engagés dans la société, catéchistes, animateurs ecclésiaux…

Thérèse écrit à sa sœur Céline :

Autrefois Jésus disait à ses disciples en leur montrant les champs de blés mûrs : « Levez les yeux et voyez comme les campagnes sont déjà assez blanches pour être moissonnées », et un peu plus tard : « A la vérité la moisson est abondante mais le nombre des ouvriers est petit ; demandez donc au maître de la moisson qu’Il envoie des ouvriers. »  Quel mystère !… Jésus n’est-Il pas tout-puissant ? les créatures ne sont-elles pas à celui qui les a faites ? Pourquoi Jésus dit-Il donc « Demandez au maître de la moisson qu’Il envoie des ouvriers » ? Pourquoi ?… Ah ! c’est que Jésus a pour nous un amour si incompréhensible qu’Il veut que nous ayons part avec lui au salut des âmes. Il ne veut rien faire sans nous. […]
Voici les paroles de notre Jésus :  « Demandez-moi des ouvriers et j’en enverrai, je n’attends qu’une prière, un soupir de votre cœur ! » LT 135